Médecine traditionnelle chinoise

La médecine traditionnelle chinoise (MTC) est originaire de la Chine ancienne et a évolué sur des milliers d’années. Les praticiens de médecine traditionnelle chinoise utilisent des médicaments à base de plantes et diverses pratiques de l’esprit et du corps, comme l’acupuncture et le Tai-chi, pour traiter ou prévenir les problèmes de santé. En France, les gens utilisent la MTC principalement comme une approche de santé complémentaire.

La médecine traditionnelle chinoise couvre de nombreuses pratiques différentes, y compris l’acupuncture, la moxibustion (brûler une herbe au-dessus de la peau pour appliquer la chaleur aux points d’acupuncture), la phytothérapie, le tui na (massage thérapeutique chinois), la thérapie par la diététique, le Tai chi et le Qi gong (Mouvements ou postures spécifiques, respiration coordonnée et concentration mentale). La MTC est enracinée dans l’ancienne philosophie du taoïsme et remonte à plus de 2.500 ans. Les systèmes traditionnels de médecine existent également dans d’autres pays d’Asie de l’Est et du Sud, y compris le Japon (où la médecine traditionnelle à base de plantes s’appelle Kampo) et la Corée. Certains de ces systèmes ont été influencés par la médecine traditionnelle chinoise et sont semblables à certains, mais chacun a développé des caractéristiques distinctives propres.

 

 

L’utilisation des fruits dans la pharmacopée traditionnelle chinoise

La Chine est très riche en fruits comestibles. Les botanistes en dis­tinguent plus de trois cents espèces, réparties en deux catégories : les fruits secs (gousses, capsules, akènes) et les fruits charnus (drupes, baies), recherchés à la fois par les gastronomes et les phar­maciens. Au Nord comme au Sud, toutes les parties du fruit sont […]

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L’utilisation des fleurs dans la pharmacopée traditionnelle chinoise

Les plantes à fleurs ou plantes florales sont opposées aux plantes à feuillage. Les peuples d’Asie orientale ont de tout temps enrichi la floriculture d’espèces peu connues en Occident. La Fleur blanche de Mei, par exemple, résiste aux assauts les plus rudes de l’hiver. Elle est très estimée pour son parfum. On la trouve au

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Les feuilles en pharmacopée traditionnelle chinoise

La cueillette des feuilles se fait habituellement avant la floraison. Nous trouvons dans la feuille la sève élaborée (sucres, amidon, proti­des). Les Anciens croyaient aux vertus de sa forme. Les feuilles peu­vent être simples ou composées. Le limbe en constitue la partie essentielle. Cette région plate est souvent attachée à la tige par une partie

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Les racines en pharmacopée traditionnelle chinoise

  L’Institut de Pharmacie traditionnelle de Nankin distinguait en 1972 quatre-vingt-une espèces de racines. Elles sont estimées pour leur valeur nutritive. La forme de la racine est également très recher­chée. Les racines fixent le végétal dans le sol et s’implantent par géo­tropisme. Elles y absorbent l’eau et les sels minéraux. On différencie la racine proprement

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La cueillette en phytothérapie traditionnelle chinoise

La phytothérapie, en Extrême-Orient, s’appuie sur la botanique médicale et la connaissance du commerce des drogues, bref, sur la droguerie. Il importe, on le conçoit aisément, de ne point utiliser les échantillons dangereux dont on ne connaît pas la nomenclature exacte; la connaissance des effets pharmacologiques est prioritaire. La terminologie populaire, elle, désigne parfois sous

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Materia Medica: La phytothérapie chinoise s’insère dans le programme de prévention des maladies

La Pents’aologie (science de la Materia Medica) se présente comme une thérapeutique symptomatique confirmée par une longue expérience. (Et c’est pourquoi, sans doute, on a longtemps considéré la phytothérapie comme une discipline du passé.) Pourtant, si les médecins traditionalistes visent toujours le même but (rétablir, dans l’organisme, un équilibre rompu) et emploient grosso modo pour

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Comment se calmer avec les plantes en médecine traditionnelle chinoise

La croyance en la médecine traditionnelle chinoise est un acte de foi, et rien ne le démontre autant que la prise des médicaments répu­tés « calmants ». Parmi les drogues de cette catégorie, figurent les « tablettes calmantes de l’esprit et fortifiantes du cerveau » (Ngan­chen pou-nao p’ien), toniques et sédatives. Les ingrédients sont les suivants : Rhizoma Polygonati

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Le Ginseng c’est la « panacée »: le tonique supérieur des taoïstes

Le Ginseng (racine anthropomorphe) Le Ginseng est « l’essence souveraine » ( wang tsing) des médecins traditionalistes. C’est la « panacée », le tonique supérieur des taoïstes. La morphologie de sa racine, évocatrice de la forme humaine, fut à l’origine des premiers caractères qui la représentèrent. Le terme Jen-chen, prononcé Ginseng en dialecte cantonais, signifie « le corps de l’homme ».

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La psychologie du remède en médecine traditionnelle chinoise

L’alimentation étant une nécessité, elle explique le choix d’une drogue qui est un aliment. Dans ce cas, l’automédication est courante. Le fortifiant est souvent demandé au praticien. Déjà hautement valorisé par l’officine, le remède est magnifié par la tradition. Le tonique garde une puissance occulte. Il détient la pre­mière place dans la pharmacie moderne chinoise.

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Le principe des 5 éléments en médecine traditionnelle chinoise

D’après la conception chinoise, l’homme est une réduction de l’univers. Il doit vivre en harmonie avec le Ciel et la Terre. Il n’existe que par l’équilibre des deux principes Yin et Yang. Ses organes, qui sont soumis à l’influence des biorythmes, correspondent aux cinq éléments de la nature. Les 5 éléments Les cinq éléments régissent tous

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