C’est une question que les patients nous posent tout le temps : pourquoi l’assurance maladie ne couvre-t-elle pas les médecines douces ?
Tout d’abord, les médecines douces ne font pas l’objet d’études scientifiques ou cliniques aussi poussées que dans le cadre de l’industrie pharmaceutique. Ces études doivent normalement déterminer leurs modalités d’action, leurs effets, leur efficacité, ainsi que leur non dangerosité.
Il faut dire que les enjeux financiers et surtout les moyens mis à disposition ne sont pas les même que dans l’industrie pharmaceutique. Avec plus de 920 milliards de chiffre d’affaire en 2016, dont plus de 10 milliards rien qu’en France, l’industrie pharmaceutique dispose de ressources puissantes pour faire passer la pilule.
Par ailleurs, l’enseignement des pratiques de médecines douces ne donne pas lieu à des diplômes nationaux, à l’exception de l’acupuncture. Même si certaines formations font l’objet de diplômes d’université (DU) ou de diplômes interuniversitaires (DIU), ces diplômes ne signifient pas, ipso facto, que l’efficacité et l’innocuité de la technique sont prouvées. Ce sont des diplômes complémentaires qui, à eux seuls, ne donnent pas le droit à l’exercice d’une profession de santé. Certaines formations sont par ailleurs délivrées au sein d’organismes privés sans aucun contrôle des institutions publiques quant à leur contenu, et sans reconnaissance par l’Etat des diplômes délivrés.
Hors, l’exercice des professions médicales et d’auxiliaires médicaux est encadré par le code de la santé publique (CSP). Les professionnels de santé sont titulaires d’un diplôme, certificat ou titre mentionné dans le même code qui sanctionne des études dont le programme est validé par le ministère de la santé et/ou le ministère de l’éducation nationale et de l’enseignement supérieur.
Médecines douces et remboursements
Pour autant, le marché des médecines douces et du bien-être se porte très bien et ne cesse de croître depuis maintenant trente ans.
Les différents scandales médicamenteux, le manque de temps et d’accompagnement proposé par le monde médical, le souhait de recourir à des solutions non invasives et de limiter les effets secondaires des traitements, l’émergence de nouvelles preuves scientifiques…tous ces facteurs contribuent à l’engouement vers les médecines douces.
Malheureusement, cet engouement n’est pas suivi par l’assurance maladie, qui peine encore à prendre en compte les médecines alternatives dans ses grilles de remboursement.
La Sécurité sociale rembourse des séances de ces techniques à condition qu’elles soient pratiquées par des professionnels de la santé – en d’autres termes, des médecins qui auront suivi une formation dans l’un ou l’autre de ces domaines. Le remboursement se fait alors sur la base du tarif général, soit une base de 70 % du coût de la consultation.
Or, l’autre particularité des médecines douces, c’est qu’elles coûtent cher. Hors médecin conventionné secteur 1, le prix d’une consultation peut rapidement grimper entre 50 et 100 euros, notamment dans les grandes villes, sans même parler du coût des traitements. Si la médecine alternative fait du bien, elle peut donc aussi impacter fortement votre budget santé.
Certaines mutuelles ont développé des garanties spéciales pour les médecines douces, qui apparaissent souvent sous la forme de « forfait médecines douces » ou d’options.
Les possibilités de remboursement n’excèdent généralement pas une vingtaine d’euros. D’autres offres proposent un remboursement intégral, mais vont trop fortement brider le nombre de consultations qui pourront être remboursées chaque année.
Il existe donc quasi systématiquement un reste à charge pour le patient et bien souvent, c’est même l’entièreté de la prestation qui est à régler par le patient.
Solutions de remboursement, comment les choisir ?
Parmi les questions à se poser avant de choisir une solution de remboursement des médecines douces :
1- Evaluer ses besoins, lister la liste des médecines parallèles auxquelles vous avez recours pendant l’année (sophrologie, ostéopathie, acupuncture…) et essayer de quantifier le budget annuel alloué.
2- Consultez les différentes solutions du marché.
3- Croiser votre budget annuel avec le nombre de séances remboursées (+ leur taux de prise en charge) et le prix de la cotisation.
Surcomplémentaire Daïa, excellente solution pour financer vos dépenses médecines douces
Nous avons découvert la solution Daïa by DA.fr très récemment et nous avons été séduits par tous ses avantages.
Daïa s’impose comme une solution naturelle pour prendre soin de soi là où la sécurité sociale vous laisse en berne : Acupuncture, ostéopathie, homéopathie, contraception, FIV, orthophoniste, diététicien, médicaments érectiles…
Elle intervient comme un troisième niveau de remboursement de vos soins santé, après l’éventuel remboursement de la sécurité sociale et de votre mutuelle, c’est une « surcomplémentaire Bien-être, qui vient compléter votre mutuelle – notamment d’entreprise.
C’est une solution idéale pour s’offrir l’accès à des thérapies alternatives complémentaires, et anticiper ses dépenses sur des postes qui répondent à un mode de vie.
Alors pourquoi est-elle si attractive ?
Daïa propose jusqu’à 2000€ de crédit annuel de remboursements pour financer vos dépenses santé bien-être !
Elle est sans engagement : vous pouvez faire évoluer votre contrat selon votre situation. Vous pouvez par ailleurs calibrer vos remboursements en fonction de votre budget..
En détail, cela donne :
- jusqu’à 550€/an pour vos consultations Médecines Douces : ostéo, acupuncteur, mésothérapeute, chiropracteur = 10 séances d’ostéo / an 🙂
- jusqu’à 550€/an pour la pharmacie : aromathérapie, homéopathie, sevrage tabagique / stimulants érectiles ou vaccins non remboursés.
Pas mal, n’est-ce pas ?
Et bien, ça ne s’arrête pas là. Daïa finance aussi d’autres dépenses santé :
- jusqu’à 750€/an pour la contraception : à 25€/mois la boite de pilule, cela amortit l’adhésion 🙂
- jusqu’à 550€/an pour vos consultations de rééducation : orthophoniste enfant / orthoptiste
- jusqu’à 450€/an pour les traitements post-cancer : perruque, implants mammaires
Pour une personne seule, la cotisation est de 19,64€.
Pour 3,50€ de plus, vous pouvez adhérer au contrat couple : le conjoint double le crédit de remboursement, mais pas le tarif.
Et pour finir…le 1er mois est offert, le temps de se faire une idée !
Il était temps qu’un acteur prenne enfin le parti de faciliter l’accès aux médecines douces, nous saluons le travail effectué par les équipes DA.fr!
Envie d’en savoir plus ? Rendez-vous sur le site Daïa