Article rédigé par Véronique Vauclaire, Naturopathe et Sophrologue.
Le cancer touche 1 personne sur 3. Fléau vieux comme la vie, il représente la deuxième cause de mortalité chez l’homme et ce malgré les avancées des technologies, les nombreuses ressources qui sont allouées chaque année et l’énergie déployée par les scientifiques de tous rangs.
Sa prévention reste donc encore la meilleure thérapie. C’est un travail de tous les jours, que vous pouvez entreprendre par le changement de certains comportements à risque, en adoptant une meilleure hygiène alimentaire, et une meilleure hygiène de vie en général.
Vous trouverez dans ce billet quelques conseils importants…
Les facteurs de risque
Les principaux facteurs à risque sont la génétique (terrain familial propice), le tabac, l’amiante, le soleil en excès, les rayonnements (téléphone portable, wifi, radiographie et mammographie, scanner, radiothérapie, rayonnements cosmiques), les polluants, l’alimentation (les aliments mais aussi leur mode de préparation et de cuisson), le surpoids, l’alcool, les agents inflammatoires, le rythme de vie (métro – boulot – dodo) et l’absence d’exercice physique quotidien, le manque de sommeil, le stress, un manque de nutriments essentiels, ainsi que la pilule et autres contraceptifs chargés en oestrogènes et progestérone (1 pilule = 100 poulets aux hormones).
Prévention du cancer
La prévention du cancer passe nécessairement par une meilleure hygiène alimentaire. Nous sommes confrontés chaque jour à de nombreux polluants et produits toxiques. Voici comment limiter la casse:
Adoptez une bonne hygiène alimentaire
- Préférer la qualité des aliments à la quantité (bio, local et de saison autant que possible).
- Privilégier les légumes et les fruits, les céréales complètes, les légumineuses.
- Préférer les aliments crus : en marinade, à la vapeur douce, au court-bouillon, au wok, et éviter les cuissons au barbecue ou à haute température (une viande trop cuite = 800 à 1000 cigarettes).
- Ne pas fumer ou réduire considérablement sa consommation de tabac.
- Limiter l’alcool et le sel, le sucre (surtout le sucre raffiné), les graisses et la farine blanche.
- Remplacer le lait de vache par des laits végétaux.
- Supprimer la margarine et les huiles végétales de tournesol, de maïs, de pépins de raisin, de soja et de noix.
- Utiliser des huiles d’olive et de colza.
- Prendre le temps de manger et ne jamais se forcer à manger.
- Identifier les manques comblés par un grignotage compulsif (attention, respect, estime de soi, affection, affirmation de soi, sexualité, réussite, culture, créativité, réalisation des rêves) et y répondre au mieux.
- Faire des cures de magnésium permet d’éviter une altération de la maîtrise des pulsions.
- Pratiquer une activité physique, prendre l’air loin de la pollution.
- Favoriser le blé entier et les grains entiers.
- Filtrer l’eau du robinet avec un filtre à charbon actif.
- Limiter la prise de médicaments (comme le paracétamol).
- Bien rincer la vaisselle.
- Soutenir le système immunitaire.
- Traiter helicobacter pylori et surveiller en cas d’hépatite chronique ou d’infection à papillomavirus.
- Remplacer les contraceptifs hormonaux par d’autres techniques.
- Se supplémenter en vitamine D (200 Ul par jour avant 50 ans puis 400 Ul au-delà) et en vitamine K, uniquement après un contrôle sanguin sur prescription médicale.
- Mettre glucides lents, sport (natation), massages, musique, voyages, création, méditation, yoga, amour,… dans son quotidien.
- Prudence avec la tisane de fenouil qui peut dans certains cas déclencher une mastose ACR2 voire favoriser un cancer du sein si la personne se trouve en déséquilibre caché.
Aliments anti-cancer:
- Les crucifères.
- Les alliacées (ail, oignon, échalotte, fines herbes, ail des ours, poireau).
- Le thé vert ou blanc.
- Le vin rouge (à dose modérée s’entend).
- La grenade.
- Les fruits et légumes bleus, noirs, rouges, oranges, verts (plus ils sont colorés, plus ils sont protecteurs).
- Les tomates cuites avec de l’huile d’olive.
- Les petits poissons gras marinés, cuits vapeur, pochés feu éteint.
- Les amandes, les noix, les noisettes.
- L’avocat.
- Le curcuma associé au poivre noir.
- Les champignons (pleurote, agaricus blazei, shiitake, maitake, reishi).
- Les algues.
- Le chocolat noir.
- Les graines de lin fraîchement moulues.
Soutenir le système immunitaire et se renforcer.
- Ne pas fumer ou réduire considérablement sa consommation de tabac.
- Traiter helicobacter pylori et surveiller en cas d’hépatite chronique ou d’infection à papillomavirus.
- Remplacer les contraceptifs hormonaux par d’autres techniques.
- Se supplémenter en vitamine D (200 Ul par jour avant 50 ans puis 400 Ul au-delà) et en vitamine K, uniquement après un contrôle sanguin sur prescription médicale.
- Mettre sport (natation), massages, musique, voyages, création, méditation, yoga, amour,… dans son quotidien.
Accompagnement d’un traitement par chimiothérapie
- Atténuer les nausées et récupérer plus vite : desmodium (desmodium adscendens) – 7 g de feuilles sèches en décoction 15 minutes dans un litre d’eau à boire au cours de la journée. (Si les nausées sont trop importantes, l’utiliser sous forme de sirop. Commencer la veille de la chimiothérapie et jusqu’à 5-7 jours ensuite selon les nausées.
- Améliorer le confort digestif : probiotiques pour équilibrer la flore intestinale et de l’ortie (chlorophylle magnésienne) pour nettoyer le colon et protéger la muqueuse. Loin des prises de médicaments.
- Spasmes digestifs : mélisse.
- Fatigue : outre le repos dans les deux jours qui suivent une séance de chimiothérapie, le guarama (attention il contient de la caféine et peut donner des palpitations).
- Anti-stress : les noix de cajou crues.
- Empêcher la prolifération des cellules cancéreuses : les épinards, les crucifères, les alliacées.
- Faire régresser le cancer : le curcuma (sinus, colon, bouche, prostate), les pépins de pomme, les amandes d’abricots amers. Pratiquer le jeûne (en début de cancer, as quand l’organisme est déjà trop affaibli par la chimiothérapie).
- Atténuer les effets secondaires, être relaxé et avoir un regain d’énergie : les soins Reiki.
Accompagnement d’un traitement en radiothérapie
- Lutter contre les fibroses : gingko biloba sous forme concentrée à base de feuilles jaunes (et non vertes) pendant toute la durée du traitement et jusqu’à 2 mois après la fin des séances.
- Brûlures : Aloe vera en compresses sur la zone irradiée après chaque séance pur ou avec quelques gouttes d’huile végétale ou d’huile essentielle de millepertuis, miel, lavande vraie. Petit mélange conseillé à faire dans un flacon 10 ml teinté : 4 mml d’huile végétale de millepertuis + 1 ml d’huile essentielle de lavande vraie ( lavendula officinalis) + 1 ml d’huile essentielle de niaouli (melaleuca quiquenervia) sur et autour de la zone traitée après chaque séance de rayons. Avoir recours aux services d’un passeur de feu (les hôpitaux ont des listes à disposition des malades).
Cancer et huiles essentielles
Les huiles essentielles peuvent s’avérer dangereuses si elles sont mal dosées, mal utilisées, car trop puissantes. Demandez toujours conseil à votre médecin, votre pharmacien ou un aromathérapeute afin de savoir si vous pouvez les utiliser.
- Anti-mutagène : l’huile essentielle de thym aide à freiner les mutations lors de la phase primaire du cancer et ralentir son évolution.
- Inciter les cellules cancéreuses à s’auto-détruire (immunostimulant) : l’huile essentielle de sapin baumier.
- Neutraliser les agents cancérigènes : l’huile essentielle de céleri.
- Favoriser la propagation et l’efficacité des lymphocytes : l’huile essentielle de basilic.
- Empêcher la division des cellules cancéreuses : l’huile essentielle de clou de girofle.
Ces huiles essentielles peuvent servir à une chimiothérapie naturelle lorsqu’elles sont combinées avec des éléments anticancéreux comme la vitamine K.
Prenez soin de vous et portez-vous bien !
Article rédigé par Véronique Vauclaire
Naturopathe et Sophrologue
Tel: 06.75.93.83.83
Mail: veronique.vauclaire@sfr.fr
Mise en garde : Un avis médical est indispensable avant l’application d’un traitement naturel. Seul votre médecin connaît vos antécédents médicaux et les interactions que certaines plantes pourraient avoir avec votre traitement. De plus, je ne saurai être tenu responsable d’une mauvaise utilisation des plantes ou produits que j’aurais conseillés.