poireau

Et oui, le poireau s’utilise aussi pour soigner !

Plusieurs études épidémiologiques ont démontré qu’une consommation élevée de légumes et de fruits diminuait le risque de maladies cardiovasculaires, de certains cancers et d’autresmaladies chroniques1. La présence d’antioxydants dans les légumes et les fruits pourrait jouer un rôle dans cette protection.

  • Cancer. Selon certaines études, la consommation de légumes de la famille des alliacées (par exemple, le poireau, l’oignon, l’ail, l’échalote, la ciboulette, la ciboule) aurait un effet protecteur contre les cancers de l’estomac et de l’intestin. Par ailleurs, d’autres recherches n’ont démontré aucun lien entre la consommation de différents légumes, dont le poireau, et certains types de cancers tels que celui du sein, du poumon, de l’estomac, du côlon et du rectum. Selon les auteurs, la quantité consommée de composés actifs provenant du poireau était insuffisante pour détecter un effet tangible. Des études évaluant la consommation plus régulière de poireau seront donc nécessaires pour prouver ses propriétés bénéfiques.
  • Cholestérol sanguin. Une étude a indiqué que l’extrait de poireau, administré à des lapins, entraînait une diminution du cholestérol total et du cholestérol-LDL(« mauvais » cholestérol). Les flavonoïdes et les saponines contenus dans le poireau pourraient jouer un rôle dans ces effets. Plusieurs recherches ont prouvé que l’ail avait des effets bénéfiques sur le cholestérol sanguin chez l’humain, d’autres études sont nécessaires afin de vérifier si le poireau pourrait avoir des propriétés similaires. (source: www.passeportsante.net)

 

  • On a pu dire que, grâce à ses sels alcalins, une cure de poireaux équivalait à une cure à Vichy.
  • Le poireau, laxatif, est appelé « balai de l’intestin ».
  • Le Douillon de poireau, comme la soupe de l’oignon, est un bon remède de la « gueule de Dois ».
  • Les radicelles : 30 g macérés 10 iours dans 1 litre de vin blanc, constituent un excellent remède contre l’excès d’urée 1 verre à bordeaux chaque matin. Depuis qu’un chiffonnier m’a donné la recette en 1949, j’ai eu de nombreuses occasions de le véri­fier.