Cancer bronchique à petites cellules: Symptômes, Causes et Traitements

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Description

Le cancer du poumon est dû à une réplication incontrôlée et chaotique des cellules pulmonaires parenchymateuses. Le noyau des cellules cancéreuses subit une mutation et celles-ci deviennent ainsi capables de se multiplier rapidement, ont une durée de vie beaucoup plus longue et sont particulièrement agressives, ce qui leur permet de se propager dans l’organisme, provoquant des métastases dans divers organes.

Le cancer du poumon peut se produire dans n’importe quelle partie du poumon, car il y a des zones particulièrement sujettes au développement. Ce cancer se diagnostique souvent très tard, dans les phases terminales, c’est pourquoi le taux de mortalité du cancer du poumon est l’un des plus élevés, seulement dépassé par le cancer du sein et de la prostate.

Les symptômes apparaissent soudainement et s’aggravent rapidement. Dans certains cas, en raison de l’obstruction due à une tumeur ou à cause d’une tumeur en question, les patients peuvent présenter des infections pulmonaires ou de la fièvre. Des métastases se produisent très rapidement au cours de l’évolution du carcinome à petites cellules, les ganglions lymphatiques médiastinaux sont les premiers touchés.

Causes et facteurs de risque

La principale cause de cancer du poumon à la fois des petites cellules et celui non lié aux petites cellules est le tabagisme. Tous les types de cancers du poumon surviennent avec une fréquence accrue chez les personnes qui extraient de l’uranium et de l’amiante. Dans tous les cas, la prévalence est accrue chez les personnes qui fument.

Le cancer à petites cellules est l’un des principaux cancers qui causent le syndrome de la veine cave supérieure. Des syndromes neurologiques associés au syndrome de Lambert-Eaton sont la neuropathie sensorielle aiguë, la dégénérescence cérébelleuse aiguë et l’encéphalopathie limbique.

Diagnostic et traitement

Dans la plupart des cas, une biopsie est effectuée ainsi que l’un ou plusieurs des tests suivants: scintigraphie osseuse, radiographie pulmonaire, numération de la formule sanguine, tomodensitométrie, tests de la fonction hépatique, IRM, tomographie par émission de positons (TEP) scanner, examen des expectorations.

Parce que le CPPC se propage rapidement dans tout le corps, le traitement doit comporter des médicaments anticancéreux (chimiothérapie) pris par voie orale ou par injection dans le corps. Habituellement, le médicament de chimiothérapie étoposide est associé à la cisplatine ou la carboplatine.

La chimiothérapie combinée et la radiothérapie sont prescrites aux personnes ayant un CBPC qui s’est propagé dans tout le corps. Toutefois, le traitement permet seulement de soulager les symptômes. Il ne guérit pas la maladie….

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